La première réunion de l’équipe de la documentation s’est tenue le 11 janvier 2021 à midi heure française, en visioconférence sur le logiciel Jitsi.
À l’ordre du jour
- Définir un processus et des règles pour les mises à jour des articles en français par rapport aux mises à jour de la source en anglais. Faut-il répercuter toutes les mises à jour, même mineures ?
- Définir des règles pour les demandes de relectures/modifications/imports aux membres de l’équipe.
Personnes présentes
Mises à jour de la documentation en français par rapport à celle en anglais
Depuis le début du chantier de la traduction de la documentation en français, nous avons traduit et publié 101 articles, soit 45% des articles importés.
En parallèle de la traduction et publication de ces articles, un travail de mise à jour de certains articles déjà traduits en français a été réalisé, lorsque l’article en anglais a été modifié.
Ce travail de mise à jour est parfois long et fastidieux, il faut rechercher ce qui a été modifié sur l’article en anglais, pour l’appliquer sur la version française.
L’accès pour quelques personnes aux articles sources en anglais ou mieux, la mise en place d’outils pour comparer les versions (afin de voir aisément les modifications entre deux versions) serait envisageable mais se pose la question de la pertinence de ces interventions lorsqu’il s’agit le plus souvent de mettre à jour une capture d’écran ou une phrase mineure, qui ne changent ni le sens, ni la portée de l’article. Aussi, la réplication systématique des mises à jour apportées aux articles de la version anglaise sur les articles français déjà traduits n’est pas une priorité et sera effectuée de manière très ponctuelle .
Au niveau de la traduction des articles, il est proposé de définir des priorités, notamment :
- Traduire et publier les articles qui sont utiles aux lecteurs et lectrices (fonctionnalités importantes, éditeur, trouver de l’aide).
- Traduire et publier les articles qui sont liés à de nombreux autres articles et provoquent actuellement beaucoup de pages non trouvées (erreurs 404).
Il est rappelé que nous avons toute la liberté pour différer du format anglais. Nous pouvons par exemple remplacer plusieurs articles par un seul article sous forme de FAQ, moins détaillée mais donnant les informations essentielles. On peut aussi imaginer traiter certains articles didactiques sous forme de vidéos tutoriels (avec transcription textuelle).
L’avenir de la documentation
Nous avons également discuté de la direction que doit prendre la documentation en français. Est-ce que nous continuons à traduire ce qui est publié en anglais, ou pouvons-nous nous positionner en tant que créateurs et créatrices de contenus ?
En réalité, nous créons déjà du contenu lorsque nous adaptons ou corrigeons tout en traduisant, et en créant déjà de nouveaux contenus, comme les articles de la catégorie Accessibilité.
Il est proposé d’essayer de prendre les devants lorsqu’une future mise à jour de WordPress implique la création de nouveaux articles, ou la correction majeure d’articles existants.
En conclusion, nous poursuivons la traduction des articles importés en suivant les priorités, tout en adaptant ou réorganisant le contenu des articles si cela s’avère utile (contenu obsolète, formulation/organisation qui ne nous conviennent pas), et tout en poursuivant l’ajout de nos propres contenus. Si des personnes souhaitent créer des articles, leurs idées sont les bienvenues.
Processus de demandes de relectures et imports
Actuellement, pour demander la relecture d’un article que l’on a traduit ou rédigé, il faut :
Ce processus de demande de relecture convient.
Il est rappelé que lorsqu’on se positionne sur la relecture d’un article, il faut penser à avertir les autres afin d’éviter les doublons : à minima prévenir sur le Slack que l’on relit l’article, au mieux également mettre à jour le tableau de suivi.
Un paragraphe d’introduction précisant cela a été ajouté à la documentation Relectures et publication d’un article.
Questions diverses
Idée d’un bac à sable
Patrice (@papicx) propose l’idée de mettre en place un WordPress de test (bac à sable) afin de pouvoir facilement installer des thèmes, extensions, vérifier l’interface lorsqu’on contribue à la documentation.
Cela pourrait être pratique, mais se pose la question de la maintenance d’une telle installation, le temps que cela prend.
Jusque là, les contributeurs et contributrices de la documentation ont leur propre site de test. Le plus simple est peut-être de se positionner sur des articles dont on connaît le sujet si on ne souhaite pas installer un WordPress de test.
La réunion s’est terminée à 13h10, merci à toutes et à tous pour votre participation :).
#compte-rendu